Le blog de Lee Bertin & Laure Gasme
(suite et fin)
Je la contacte par e-mail :
"Bonjour Carolinass coquine
Je viens de découvrir votre annonce, et elle a vivement attiré mon attention.
D'abord parce qu'elle est bien écrite, et que j'apprécie par dessus tout les personnes intelligentes, claires, honnêtes et bien élevées.
Ensuite, parce que je n'aime rien tant que les préliminaires, et que vous semblez sensibles aux hommes calmes à la langue délicate et aux doigts de fée.
J'ai pour ma part 40 ans, je suis cadre supérieur, et, depuis mon travail à Wall Street, je peux assez facilement trouver deux heures en journée pour venir vous rendre hommage, à partir de la semaine prochaine.
Voire, peut-être sortir le soir en club, dites moi celui que vous préférez (je connais "SINsation", "Le Trapèze", et j’étais allé, il y a longtemps, au "One leg up nyc")
Je reste bien sûr à votre disposition si vous souhaitez d'autres renseignements sur moi. Je n'ai pas de pseudo, donc je vous donne mon vrai prénom.
A bientôt j'espère
Bises Lee bertines"
Sa réponse :
"Bonjour
je t’invite à voir mon blog: http://carolinass.com
Je reçois sur East village pour 250 $ la demi h et 400 $ l heure sur RV pris uniquement par tel au 646-324-9751 EN NUMÉRO NON MASQUÉ . Pas de SMS , ni de MMS.
Étant occasionnelle, je ne viens pas souvent sur le site et ne lis pas mes mails régulièrement ; donc pas de rv par mail.
je suis dispo à partir d’aujourd hui
Bizz
Carolinas(s)"
Je l’appelle pour prendre rendez-vous dans les jours suivants. Elle m’indiquera son adresse exacte par sms le lendemain, dès que j’arriverai dans son quartier pour notre rendez-vous.
A l’heure dite, je rentre dans son immeuble. Toc-toc, elle ouvre tout de suite. Son appart de 10m2 en rez de chaussée est en très mauvais état, contrairement à elle.
Pour une quadra, elle a belle allure, et se rend immédiatement sympathique. Je prends une douche, puis la rejoins sur le petit matelas en mousse qu’elle vient de retirer en vitesse du canapé convertible. La pièce est si petite, que l’on touche quasiment la fenêtre du pied du matelas, la chaise où j’ai posé mes vêtements à l'autre bout, et le verre d’eau posé sur la table dans la longueur. Bon, ce n’est pas grave, je suis venu pour profiter d’elle, pas du paysage.
Elle est en lingerie fine, allongée sur le dos, et attend mes initiatives. Je commence par découvrir ses seins, de belle taille, et embrasse ses tétons, tout en caressant ses jambes.
Elle est bandante, c’est le principal, et a un beau visage. Dommage qu’elle ne suce pas, mais je le savais avant de venir. Je lui demande :
- Alors, comme ça, tu aimes un homme ayant la main baladeuse ?
- Hum, oui, j’adore, déshabille-moi davantage si tu veux
Je lui enlève donc sa petite culotte en dentelle.
- Belle chatte ! Je peux te lécher ?
- Bien sûr, fais…
Puis je m’allonge à côté d’elle, et la caresse avec le majeur, tout en lui embrassant un téton. Mais, forcément, je n’ai qu’une idée en tête, vérifier que ce qu’elle déclare sur son annonce est véridique.
- Je caresserai ton petit trou, aussi…
- Vas-y, c’est ce que je préfère…
Je ne me fais pas prier : elle me donne un peu de gel, et j’enfonce doucement un doigt dans son fondement. Je sens ma queue durcir, hum, tout se passe exactement comme je l’espérais. Mais le meilleur est à venir…
Elle se met en levrette et annonce :
- Si tu veux, tu peux mettre un deuxième doigt, tu vas voir, il rentrera bien, surenchérit-elle
- Avec plaisir... oh, c’est encore mieux !
Je rentre et sors mes doigts, fais quelques mouvements tournants du poignet, comme c’est bon…
- N’hésite, pas, Lee, si tu veux en mettre trois, pas de problème !
Oh là là, mais c’est géant ! Annulaire, majeur et index se retrouvent maintenant en elle, et je ne l’ai pas encore pénétrée !
Comme son cul est beau ! Il me tarde d’y rentrer avec le sexe, surtout que je sens que je me ramollis un peu…
- Tu veux me prendre comme ça ?
- Oui, je mets le préservatif
- Attends, je vais aussi le lubrifier…Tu veux d’abord ma chatte ?
- Non, la sodo direct, si tu veux bien
Malgré une bite un peu molle, je réussis à rentrer.
- Je te sens durcir, là, tu aimes, hein ?
C’est peu dire que oui, sentir ma queue dure comme du béton et la sodomiser tout en caressant ses fesses à la forme et la consistance parfaites m'a rendu dingue !
Je ne peux retenir un cri lors de mon orgasme, whaow ! C’était géant !
Comme quoi, entre une bombe siliconée, minaudant, offrant le service minimum (sourire inexistant, pénétration vaginale seule utorisée) pour un prix astronomique, et une vraie femme naturelle à tous points de vue, pratiquant…un tarif très raisonnable, je m’y retrouve !