Les tenants du point G peuvent peuvent définitivement fermer boutique...
...ou plutôt l'agrandir ! S'ils font leur mea culpa, et se rendent à l'évidence : car finalement, ce qui vient
d'être découvert est une excellente nouvelle pour les femmes aimant le plaisir, et pour les hommes aimant les femmes qui aiment le plaisir.
Les femmes sont en effet dotées d'une double arche ! Au début, vous sourirez, comme le public écoutant cette
conférencière, mais c'est du sérieux, étayé, scientifique :
C'est dingue qu'il ait fallu* attendre le XXIè siècle pour comprendre qu'aucune femme
n'était vaginale, et que toutes étaient clitoridiennes !
Tout cela parce qu'on réduisait le clitoris à un petit bouton !
Du coup, le point "G" n'est
pas un point précis non plus, il circule sur cette surprenante double arche mobile !
A vous de jouer !
* phrase longtemps prononcée
ainsi par les phallocrates : "c'est dingue qu'il ait phallus attendre le XXIè siècle..." Sans doute de la mauvaise volonté de la part des hommes, qui voulaient monopoliser le plaisir.
Réédition
en dvd et à bon escient d'un classique du polar poisseux, Hot Spot, qui, outre ses qualités intrinsèques, se situe extrêmement haut dans mon Panthéon personnel, car vous
connaissez mon admiration sans limite pour Jennifer Connely.
Lisons ce
que pense un critique d'aujourd'hui de ce classique du polar :
"On a tendance à réduire Dennis Hopper cinéaste au seul « Easy rider ». Ce serait passer à côté d'une œuvre honorable (7 films) d'où surnage
« Hot spot » (1990), modèle ultrajouissif de série noire qui plonge un petit arnaqueur à la manque dans la fournaise et le stupre d'une bourgade perdue du Texas. Le
film épate par son classicisme souverain, Hopper prenant une jubilation palpable à inscrire les figures de son vivarium à la Jim Thompson dans ce mélange ripoliné et vulgaire qui définit
esthétiquement les années 1990. Virginia Madsen (la blonde plantureuse) et Jennifer Connely (en nymphette frémissante) y rivalisent de sensualité perverse, pendant que Don Johnson, fraîchement
sorti de « Deux flics à Miami », campe un antihéros fabuleux, bellâtre aveuglé par son virilisme beauf, castré par la splendeur et l'intelligence des femmes".
On y
ajoutera ce que j’en avais dit voici quelques semaines ici
Je ne sais pas d'où peut provenir ce goût prononcé pour les poitrines de femme dotées d'une grande aréole, mais cela remonte à l'enfance, et m'excite
terriblement !
Peu m'importe alors la taille de la poitrine...
...même si pour moi l'idéal est représenté par la première photo, en tête de cet article
En présence d'une grande aréole, je ne regarde plus rien d'autre, ni la couleur de la peau, ni le reste du
physique, un visage moche ne me dérange plus dans ce cas, je flashe littéralement sur ce détail anatomique, qui
m'hypnotise
En fait, je peux m'en passer, mais cela reste un fantasme fort
Des gros nibards, c'est bien, avec une aréole développée, c'est mieux !