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(…) Enfin elle arrive, d’un pas décidé, dans une tenue…huuuum, sexy ? Oh, oui le genre de tenue qui va à peu de femmes, à part quelques mannequins, tellement les exigences sont élevées : un petit ensemble en cuir noir, mini-jupe et veste courte sans manches obligeant à avoir de la poitrine (à cause du décolleté), un ventre plat (la veste s’arrête 10 cm. au dessus du nombril), des fesses (pour que ça roule quand elle bouge), et des jambes fines, mais elle a tout cela et tellement plus encore…
On se fait la bise et elle va s’asseoir en face de moi dans un grand canapé. Au dessus d’elle, on oublie le cadre avec la Ferrari, dont la carrosserie paraît soudainement dépassée.
Sylvia a le type méditerranéen, une peau mate foncée, un visage mi-italien mi-maghrébin, un très large sourire, des yeux noirs et vifs, un visage si prenant qu’on en oublie de contempler ce qui serait criminel d’appeler « le reste ». Elle fait très latino.
Nous trinquons au champagne, je commence à me détendre, les photos sur internet n’étaient donc pas truquées ! Et en plus elle est gentille ! Je suppose qu’ils ne voient pas (ou le cachent bien) que je suis complètement novice en matière d’échangisme et pas vraiment prêt s’il fallait commencer, là, tout de suite, dans la minute qui vient. Pendant qu’il quitte la pièce, elle se lève s’approche de moi et me demande ce que j’ai envie de faire (ce qui revient à demander plus précisément ce que j’ai envie de « lui » faire).
Ben, euh, à vrai dire… Attention, mon ignorance totale des pratiques échangistes va rapidement leur apparaître flagrante ! Comment répondre primo : bien, et secundo : rapidement ? J’improvise une formule vague « j’ai des goûts classiques, il n’y a pas un truc particulier que j’aime faire, je suis adepte de la douceur, j’ai des goûts normaux, ah si j’aime les préliminaires (je dis ce dernier mot sans conviction parce qu’il m’a averti que je ne pourrai pas la caresser avec un doigt, ce qui est absolument dramatique vu mon adresse dans cet exercice – bien que vrai gaucher j’arrive à emmener une femme jusqu’au bout avec le majeur de ma main droite – non, vraiment ce n’est pas de chance car autant le cunnilingus m’ennuie vite et me donne des douleurs à la nuque (enfin, quand c’est la femme qui est allongée sur le dos), autant je suis tout excité à l’idée de déclencher une explosion juste en bougeant un peu le bout d’un doigt, de voir en même temps un corps totalement immobile, quasiment inerte, et un visage traduire une telle fulgurance malgré des yeux fermés), oui j’aime les préliminaires et, comme tout le monde changer de position ». Ouais, je sais, ce n’est pas terrible comme réponse, il a fallu improviser dans l’urgence ! Bon, on verra, ce qui m’inquiète c’est plutôt que je ne bande toujours pas, probablement impressionné, redoutant de partir dans l’inconnu, de ne pas être à la hauteur. Le mari revient dans le salon, ouf, on ne va pas tout de suite dans la chambre ! Et puis qu’est-ce que j’en sais ? Va-t-on simplement aller quelque part ? Va-t-on faire quelque chose ? Lee est en petite forme, ainsi que son fidèle compagnon petit kiki, plus petit que jamais.
Et forcément, Justin choisit le moment où ma configuration était minimale pour donner le signal de départ. Candy augmenta le son de la musique et me fit lever. Le corps se leva, mais pas tous ses appendices. Qu’est-ce qu’elle est belle ! Je suis devant une véritable déesse, maintenant qu’elle est debout j’apprécie mieux son physique, je trouve presque dommage qu’elle ne reste pas encore un peu dans cette tenue qui met tous ses atouts en valeur. A la réflexion, je ne crois pas avoir déjà vu en chair et en os une femme oser le port d’une telle tenue. Et la porter avec autant de sex appeal ! Cette fois-ci c’est sûr je n’ai plus envie de repartir, je vais savourer chaque seconde. J’ admire sa petite tenue et en même temps je regrette qu’elle n’ait pas davantage de vêtements sur elle, un petit strip-tease aurait été parfait pour mettre ma petite machine en marche, alors que là, elle sera nue dans cinq secondes !
Finalement non, pour mon plus grand plaisir : elle m’enlève mon polo et retire son petit haut, donc si je compte bien et si elle porte une culotte il reste encore quatre maillons : les bottines, le soutien-gorge, la mini-jupe et –peut-être– une petite culotte ; c’est cool ! Elle se trémousse devant moi au rythme de la musique, j’adopte enfin la physionomie de la situation, au moment où elle s’approche de moi à reculons pour que je dégrafe son soutien-gorge. Pouh ! J’ai carrément chaud, bien que torse nu. Elle a des seins absolument incroyables, défiant les lois de l’attraction terrestre : consistants, fermes, et, malgré un volume les condamnant théoriquement à tomber, restant haut perchés, si bien qu’ils paraissent en apesanteur.
Ils résolvent la quadrature du cercle, trop petits ils tiennent mais ne font pas assez féminin, trop gros ou/et trop longs ils tombent, ici ils sont à l’intersection (inter-sexe-ion ?) parfaite de tous les seins, et en réalisent la sein thèse la plus parfaite. Comment vais-je pouvoir me retenir ? Voilà un sacré défi qui se présente à moi, surtout que tout se bouscule (bous-cul-e) dans ma tête ; j’essaye de réaliser au temps présent ce qui m’arrive, je repense au passé ce qui vient juste d’arriver, je me demande au futur ce qui arrivera dans les minutes à venir, tout en me disant « est-ce que je m’y prends bien ? », « combien de temps encore croiront-ils que je suis un bon coup, un super fucker ? »…
Le chroniqueur...
...peut-il s’improviser...gros niqueur ?
L’avenir le dira, pour le moment je contemple ébahi cette huitième merveille du monde, je passe mes mains sur ses cuisses, sur ses seins, je n’en reviens pas de la douceur de sa peau, à croire qu’elle ne se lave qu’avec de l’eau de source de Martinique qu’elle fait venir à grand frais. Peau douce, mais pas molle, ferme, soyeuse, peau d’une couleur ambrée, évoquant immédiatement la méditerranée, le soleil. Peau d’autant plus agréable à effleurer qu’elle recouvre une anatomie aussi harmonieuse, une savante succession de plats (le ventre) et de courbes (la poitrine, les cuisses…). Et dire que je n’ai pas encore tout vu ! (...)
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