Partager l'article ! Candy (4/5): (…) Pendant ce temps-là, lui a quitté son fauteuil et s’est tranquillement installé dans son canapé, émoustillé par la ...
(…) Pendant ce temps-là, lui a quitté son fauteuil et s’est tranquillement installé dans son canapé, émoustillé par la scène de l’effeuillage. C’est justement mon tour, elle retire sa jupette puis m’enlève le pantalon et le caleçon dans la foulée : ouf ! l’honneur est sauf, elle agrippe un membre bien dur. Elle me branle tellement bien que je crains un instant de tout lâcher. Heureusement, j’arrive à me maîtriser et elle s’arrête rapidement : je suis passé près de la correctionnelle !
Elle se retourne et attend visiblement que je lui enlève sa petite culotte. Je ne me fais pas prier et découvre un spectacle aussi sublime que celui de la poitrine. Parler de cul dans son cas serait péjoratif.
Ce sont des Fesses absolument incroyables, majusCULes. Rebondies sans être grosses, d’une rondeur à faire pâlir la lune, douces et fermes, mais comment ferai-je tout à l’heure pour me retenir si je dois la prendre par derrière ?
Je peux souffler un peu lorsqu’elle se dirige vers son mari ; elle se met debout sur le canapé, tête face au mur, de sorte qu’il puisse embrasser son bas-ventre. Puis elle s’assied à côté de lui. Ils s’embrassent, elle le stimule manuellement...et revient vite vers moi, selon un scénario qui semble bien rôdé. Cette « mise en scène » m’exaspère un peu, et finalement ce n’est pas plus mal, car cela m’enlève de l’excitation pour elle. Et là, elle est maximale : elle s’est mise à quatre pattes sur la table basse à côté de moi, bougeant légèrement les fesses en guise d’invitation. Invitation à quoi ? Je sollicite du regard Justin en train de se palucher dans son canapé, « caresse-la, avec ta bite si tu veux » m’encourage-t-il. Je suis stupéfait, et pourtant je ne devrais pas car je suis venu pour ça : il me demande implicitement de la tirer ! Intellectuellement, je ne saisis pas le concept ; encore, qu’un mari de laideron demande de l’aide, je conçois un peu, mais là, lui, le détenteur du plus inestimable pur joyau, le potentiel homme le plus jaloux de la terre demande à un inconnu sans qualité physique particulière (et, ce qu’il ne sait pas, complètement novice en matière d’échangisme) de baiser sa femme ?
Alors soit, je vais passer ma bite entre ses cuisses et m’occuper d’elle. Je la retire rapidement tellement je suis excité. Je pose mes mains partout, sur ses seins, ses cuisses, elle se retourne et engloutit ma bite dans sa bouche. Que c’est bon…Je caresse ses longs cheveux soyeux au possible. Monsieur le Temps, pourriez-vous appuyer sur la touche pause de votre télécommande ? C’est tellement bon…
Et surtout, Monsieur le préposé au largage des spermatozoïdes, dormez encore au moins une heure, à genoux je vous en conjure !
D’un grand sourire elle me lance que l’on pourrait peut-être passer à la chambre. Pour sûr !
Justin remonte dans son fauteuil et Candy me demande de la suivre. Elle marche nue devant moi, je n’arrive pas à détacher mon regard de ses fesses. C’est un spectacle qui ne durera qu’une demi-douzaine de secondes, mais ô combien extraordinaire ! Je resterais des heures à contempler le mouvement gélatineux de son postérieur rieur. J’en garderai un souvenir aussi profond que la découverte à l’écran à vingt ans de l’irrésistible démarche de Marilyn Monroe dans « Certains l’aiment chaud ».
La chambre est plongée dans une demi-obscurité. Elle est ressortie pour aider son mari, qu’elle installera sur le bord du lit avant de me couvrir délicatement d’une protection. Sans que je lui demande quoi que ce soit, elle se positionne en levrette. « Vas-y prends-la » me lance Justin, alors qu’elle entreprend de le sucer. Et là je redoute un peu la suite ; rentrer dans cette position, avec la possibilité de poser entièrement mes mains sur ses fesses ? Je suis persuadé qu’en moins de deux minutes j’atteins l’orgasme ! Alors je me contente dans un premier temps d’effleurer ses cuisses, ses fesses, sa chatte avec ma bite sans la pénétrer. Je débande un peu alors, et me dis tant mieux, cela évitera l’accident. Je sais qu’il me faudra peu de choses pour repartir, par exemple prendre à pleines mains ses seins, dont la taille s’accorde si magnifiquement avec celle de mes mains. Dans cette position je ne peux pas les voir, et là aussi c’est sans doute tant mieux, car rien que les toucher tout en étant collé à ses fesses procure déjà tellement de sensations…
Je remarque un grain de beauté lové sous son sein droit, si bien dissimulé, qu’il paraît avoir été mis là volontairement pour exciter l’homme, une sorte de clitoris bis. Bien entendu, cela ne lui fait rien si je le caresse, mais à moi, oooooooh que si !
Je ne m’en prive pas, car il m’avait prévenu en préambule qu’elle avait la poitrine rapidement douloureuse et qu’il n’était pas question de préliminaires car des abrutis lui avaient fait mal avant moi (sûrement entre les jambes, mais peut-être aux seins aussi). « Tu vois je n’ai plus de problème depuis que je demande de l’argent, ça fait une sélection, mais au début il y avait des types un peu violents et c’est pour ça qu’elle ne veut plus » m’avait-il expliqué. Forcément cela réduisait pas mal les possibilités, surtout pour moi qui n’aime rien tant que les petits moments précédant le Grand moment.
En réalité, j’ai du mal à intégrer le fait que je suis là uniquement pour mon plaisir et celui de Justin. Au plus profond de moi-même, je suis convaincu qu’il est plus important de donner du plaisir à ma partenaire que l’inverse. Moi qui aime dessiner des arabesques, je suis condamné (beaucoup de mes congénères aimeraient néanmoins purger ma peine, j’en ai conscience) à tremper le pinceau dans le pot.
A propos, j’ai vachement de pot ! Le grand, et, Justin me l’a garanti, le petit aussi.
Il m’avait prévenu, elle est complètement épilée : je confirme. Sensation étrange pour quelqu’un qui n’a connu que des femmes à poil, mais à laquelle je me fais instantanément. Il faut reconnaître que Candy n’a rien à cacher, et ne cache d’ailleurs rien. Sublime debout, allongée, marchant, à l’arrêt, de face, de profil, de trois-quarts, de derrière, elle est parfaite quelque soit l’angle sous lequel on la regarde. Et il me reste encore une vue inédite à apprécier, elle au dessus de moi.
Pour l’instant elle me tourne le dos et, en l’absence de tout poil, ma bite n’a aucun mal à trouver son chemin. Et justement, je me trouve précisément à la croisée des chemins. Petit trou ou grand trou ?
Je redoute une nouvelle fois de venir trop vite si je suis à l’étroit. Et puis j’aurais dû lui annoncer la couleur tout à l’heure, au lieu de quoi j’ai bafouillé que je ne souhaitais rien de spécial. Tout milite pour une levrette classique, je choisis la sécurité, après tout ce n’est que ma première sortie !
Je m’efforce de penser à autre chose qu’à elle, parce qu’elle est vraiment trop excitante, le terme de bombe sexuelle s’avérant absolument insuffisant. Elle ne dit rien, ne pousse aucun gémissement, peu importe, je suis si bien en elle, à percuter ses fesses, à caresser ses cheveux, ses seins. Je tiens bien la distance et enchaîne sur un missionnaire d’une longueur record. Je me redresse le plus possible pour que Justin puisse voir ce qui se passe. Son grand truc s’apparente à « tenir la chandelle » : il aime s’approcher avec une lampe de poche et contempler la pénétration. Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour un mec toucherait ma bite en érection, parce que par moments il me demande de la mettre plutôt comme ci ou comme ça. Intérieurement je peste contre lui, j’ai envie de lui crier « putain mais tu vas me laisser la tirer tranquille oui ou merde ? », ce n’est pas bien je sais, lui le gentil mari qui me prête si gracieusement son épouse. Je n’y peux rien, mais à chaque fois qu’il s’approche avec sa petite lampe en disant invariablement, « oh ! tu as vu son chaton ! » ou « tu aimes son chaton ! », je réponds poliment par l’affirmative tout en pensant « vas jouer aux billes ».
Parfois je ferme les yeux tellement les merveilles devant moi manquent de me faire chavirer. Ce ventre si absolument plat, magnifié par un piercing du plus bel effet au nombril. Et ces seins, ces sublimes seins maintenant devant moi, qui bougent si harmonieusement lors de mes va-et-vient ! Et ce visage d’ange, oui c’est presque insoutenable de contempler autant de trésors amoncelés devant moi. Je m’arrête peu de temps après son orgasme, sage, bref, et, j’espère, non simulé. Nous changeons de nouveau de position, je me mets sur le dos et elle vient s’asseoir sur moi. De là où je regarde, ses seins en contre plongée paraissent encore plus explosifs, je choisis ce moment pour venir à mon tour, n’en pouvant plus de détourner le regard et/ou de penser à autre chose pour retarder l’échéance au maximum.
Arrive l’heure bien méritée de la pause, Candy nous sert des grands verres d’eau fraîche. Il faisait 23 degrés dehors tout à l’heure, dans leur chambre sans doute davantage, alors une telle débauche d’énergie chacun en avale deux de rang. Candy se remet à parler, elle est toujours nue, je n’ai aucun mal à rebander rapidement. Justin me propose si je le souhaite d’en remettre un petit coup. Elle est allongée sur le dos, je suis à genoux, bien redressé, les mains libres pour tenir ses jambes ou caresser son ventre. C’est cent fois meilleur d’être en elle sans préservatif ! Justin m’a bien sûr demandé de sortir à temps, il ne faudra pas longtemps d’ailleurs, et je dépose comme il me le demande ma semence sur son chaton. Bon sang ce que c’était bon ! Et je n’écoute plus ses commentaires (« elle est belle, non ? »), ni ne regarde le faisceau de sa petite lampe, je me retiens de lui dire « putain tu ne m’as pas lâché de la soirée, tu voyais pas que je tirais le coup de ma vie ? ».
En quittant le lit vers minuit, je me rends compte que leur télé était allumée et qu’une vidéo porno passait ; il me revient qu’ils m’avaient dit au début de la soirée qu’ils ne se voyaient pas mettre un autre programme, du style feuilleton policier ou « la vie des animaux », à quoi j’aurais dû avoir la présence d’esprit de leur répondre « rien ne vous oblige à allumer la télé ! ». Preuve qu’elle n’a servi à rien, personne n’a regardé de la soirée, malgré un filet de son laissant en permanence entendre des gémissements féminins.
Voilà, on se rhabille et retourne au salon, je les remercie de leur hospitalité, elle me fait la bise et me dit que je pourrais revenir, je ne suis pas dupe ce sera lui qui décidera et à mon avis ce qu’ils aiment le plus c’est le changement. Peu m’importe, j’ai vécu une expérience formidable. (...)
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